En s'approchant, ils aperçurent dans un coin de la toile le bout d'un pied nu qui sortait de ce chaos de couleurs, de tons, de nuances indécises, espèce de brouillard sans forme ; mais un pied délicieux, un pied vivant ! Ils restèrent pétrifiés d'admiration devant ce fragment échappé à une incroyable, à une lente et progressive destruction. Ce pied apparaissait là comme le torse de quelque Vénus en marbre de Paros qui surgirait parmi les décombres d'une ville incendiée. — Il y a une femme là-dessous, s'écria Porbus
a plusieurs implications importantes sur les thèses (ou plutôt hypothèses) avancées ici.
Désormais je ne défends plus une distinction tranchée entre Idée (Non humaine) et modèles mathématiques humains ou mathèmes de celle ci :
»les idées , dans le monde spirituel qui est l’inépuisable aujourd’hui de la connaissance, ce sont les mathèmes qui progressent « vers un ordre plus pur, plus précis et plus souple à la fois » . Cette « suite » des mathèmes en progression vers la Perfection de l’Idée est en quelque sorte un « itinéraire de la conscience en Dieu » , « itinerarium mentis in Deum » »
Cela ressemble à un pas en avant suivi d’un pas en arrière :